Katarina est une jeune Rom de 17 ans qu’on a virée du lycée. Elle traîne dans Paris et, la nuit venue, elle retrouve son père Zéus et ses quatre petits frères, tous musiciens, qui vivent dans un campement. Ce qu’elle aime, c’est lire des romans et partir. Le mouvement est ma maison, dit-elle. « Pis je m’en fous. Je me sens indestructible. Y’a du soleil. J’ai faim. Un jour je serai quelqu’un… »
Avec une amie elle va partir pour Marseille où elle rencontrera Benti, un vieil homme fascinant qui allumera en elle le goût d’une aventure initiatique.
LUCIE LAND
> Dimanche 29 novembre à 15h30 - rencontre et lecture autour de son ouvrage
La débrouillardise
- Salle des Fêtes - La Cazerne
Lucie Land a passé son bac sur une île à l’Ouest du Canada avant d’entreprendre des études de Hindi et de Romani aux Langues Orientales à Paris. Beaucoup de voyages ont suivi, sur différents continents, carnets en poche, au gré du vent, à la rencontre des habitants, des musiciens, des poètes. Elle poursuit depuis l’adolescence un travail romanesque et poétique.
« J’aime ça me perdre, je pourrais en faire un métier. »
Son premier roman
Gadji
a reçu de nombreux prix. Elle l’a écrit dans une ancienne gare désaffectée.
Nous avions eu le plaisir d'accueillir Lucie à l'occasion de la première édition du festival.
Bibliographie
Romans
Gadji,
2008, Edition Sarbacane et Hachette Poche Jeunesse
Good Morning mister Paprika,
2011, Edition Sarbacane
La Débrouillardise
, 2018, Edition Grasset
Poésie :
Lettres au Vent,
Presse du Vide
Calcutta,
Revue Paysages écrits
La colère,
Revue Nejma
Les mains pleines,
Edition IL avec gravures numérotées de Ludovic Isidore